Né le 5 juillet 1958 à Tours, en Indre-et-Loire, Éric Devienne passa son enfance, adolescence et une partie de sa jeunesse à Descartes, ville située dans le même département. Passionné par la
technologie, l’électronique, il s’orienta vers l’âge de 23 ans vers le milieu de la micro-informatique, qui en était à ses débuts et implantée uniquement dans le milieu professionnel.
En 1984, il se dirigea dans le domaine de la protection électronique, il installa des matériels dans des magasins, et aussi des bâtiments industriels.
Il se maria en 1988, il eut une fille. Quelques années plus tard, il continua à évoluer dans la sécurité des établissements publics ou privés, à travers la France. C’est à cette période qu’il
commença à écrire le soir dans les chambres d’Hôtel, des histoires qui lui trottaient dans la tête. Son style s’orienta vers l’univers de l’escroquerie en fond d’histoires policières. En 2018, il
cessa son activité professionnelle. Il avait écrit peu de manuscrits, 4 durant toutes ces années, faute de temps.
En 2019, il reprit tous ses écrits, les réadapta. En début d’année 2023, il créa une petite maison d’édition, (Devienne Édition) pour en premier lieu éditer ses romans corrigés par une
professionnelle. Par la suite, il pense proposer ses services à des auteurs, ne sachant pas où faire distribuer leurs écrits, et ainsi leur permettre de sortir des ouvrages de qualité et surtout sans
faute, de façon qu’ils soient présentables vis-à-vis des lecteurs. Il écrit actuellement son 5eme roman.
Son mail : ericdevienne.auteur@gmail.com
Son site : www.ericdevienne.fr
Louis Vigaud n’avait pas prévu qu’en revenant dans son village d’enfance, pour passer une paisible retraite, certains évènements allaient ressurgir du passé.
Ludivine cette fille dont il n’avait jamais connu l’existence, bouleversera sa vie.
Surtout au décès de Sylvie sa maman, elle découvrira le passé de celle-ci, qui ne lui avait jamais parlé de ses jeunes années. Et pour cause !
Pourtant Sylvie aurait dû se douter qu’un jour sa fille Ludivine découvrirait tous ses secrets.
Quand on est diariste, on a la manie de tenir des journaux intimes, et d’écrire sa vie au quotidien, pour elle, cela durait depuis des années.
En lisant ses écrits, Ludivine plongera dans un véritable cauchemar.
Tout le canton de Chauvigny dans le département de la Vienne s’activait. Le jour J approchait.
La couronne sacrée serait présentée lors de l’exposition annuelle d’œuvres d’art. Qui, cette année, était organisée à Jardres, commune proche de Poitiers. Le joyau en or massif sertis de diamants
allait être placé dans un sas sécurisé au beau milieu de la salle des fêtes.
Beaucoup de personnes connaissaient l'existence de cette richesse, mais très peu l’avait vue. Et pour cause, elle était la propriété d’une famille noble du canton, qui, par mesure de sécurité la
cachait aux yeux du public.
Pour l’occasion on fit venir des personnalités du monde culturel, et politiques de la région.
La responsable du site attendait avec impatience l’inauguration. Un ruban bleu, blanc, rouge, fut placé devant l’entrée de la salle. Le préfet s’avança pour le couper, puis le maire de la commune
ouvrit la porte.
Un grand silence s’installa, on l'entendit prononcer ces mots. Elle est où la couronne ? Ce n’est pas vrai ! on a volé la couronne sacrée !
Tout était paisible au sein de ce petit village, si les agissements d’un étrange corbeau n’étaient pas venus perturber la vie de ses habitants. Surtout celle de Maurice Thomas, le maire de la
commune.
Qui peut bien envoyer ces courriers anonymes ? Qui est ce maître chanteur ?
Tout le monde commence à douter de son voisin, une ambiance délétère se forme au cœur du village.
Il faut absolument trouver l’auteur de ces actes, lui faire cesser ses agissements.
La question se pose : est-il seul ? A-t-il un ou plusieurs complices ? Que signifie sa signature à la fin des courriers : « Le Corbeau à la patte bleue ».