Isabelle Pons est née en 1956. Elle a passé une partie de sa jeunesse dans les environs de Poitiers, région qui sert de cadre à Puits d’ombre, son premier roman. Après avoir été successivement marchande de brocante et garde-malade, elle est devenue professeure de lettres. Elle vit actuellement à Toulouse.
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Roman policier
Ed Ex Aequo 2022
Janvier 2013. Un simple entrefilet à la rubrique « faits divers » d’un quotidien de la presse locale. Deux squelettes viennent d’être retrouvés dans le puits désaffecté d’une ancienne ferme des
environs de Poitiers. Des meurtres ? Sans doute… Mais le plus récent aurait été commis près d’une quarantaine d’années plus tôt.
Un « cold case » vite classé par la police après quelques investigations qui n’aboutissent à aucune piste.
Pourtant certains se souviennent… Du « bon vieux temps » où ils ont vécu dans cette ferme au sein d’une bande de jeunes animés d’un idéal communautaire à la mode à l’époque. Le bon vieux temps
vraiment ? Francine Jamin et Jean Nodier n’ont jamais oublié la disparition aussi soudaine qu’inexpliquée de François, l’un d’entre eux. A-t-il fui vers les Etats-Unis pour vivre pleinement une
homosexualité difficile à assumer dans la France giscardienne des années 70 ?
Et s’il n’avait jamais quitté la ferme ?
Afin d’entrevoir la vérité, Francine et Jean devront affronter le passé et ses fantômes. Une quête initiatique pour ces âmes tourmentées par la culpabilité…
Roman policier
Editions Ex Aequo 2024
Elle, on l’a trompée. En lui faisant transporter, à son insu, une partie du butin d’un hold-up sanglant commis par les Brigades Rouges à la fin des années 70. Huit ans de prison pour ça. À Rebibbia, la prison de Rome. Un passé inavouable. Son secret.
Eux, on les a assassinés en mars 2020. Un couple de septuagénaires. Quatre balles. Une pour la femme, trois pour l’homme. On a extrait leurs corps des décombres de leur maison incendiée. Un crime sauvage dans ce coin paisible du Gers, aux environs de Cazaubon. Une exécution minutieusement préparée. Sans le moindre indice.
Celles-là ont prévenu les pompiers en pleine nuit, après avoir aperçu les flammes de l’autre côté du bois Elles sont trois à vivre dans une maison de vacances fréquentée par la communauté lesbienne et, non, elles ne connaissaient pas leurs voisins. Non, elles n’ont rien à en dire. Vraiment.
C’est ce qu’elles ont affirmé à l’adjudant Magnard, chargé de l’enquête. Un bon flic. Mais qui ne se remet pas de son divorce. Et une enquête en plein confinement, c’est difficile. Surtout quand la vérité est inimaginable...