Né en 1955 en Normandie, Philippe Bouteiller est un autodidacte, passionné d'agriculture et de nature. Il crée, gère et développe la première société française de conseil en agriculture et environnement dans le Poitou. Retiré depuis peu des affaires, il occupe son temps libre entre la navigation, l'écriture et la peinture. "Les Blondel" est son premier roman.
Roman
En admirant le rosier rouge à fleur d’églantier qu’elle lui avait offert, Philippe eut une pensée pour sa petite mère disparue récemment d’usure et d’épuisement à l’âge de quatre-vingt-quatorze ans. De la lignée bourgeoise aux origines dieppoises de son père, il connaissait tout ou presque. De celles de sa mère, rien ou si peu. II savait seulement qu’elle était née à Varengeville-sur-mer, qu'elle aimait la mer et les jardins en fleurs.
Suivez la vie du livre sur https://www.facebook.com/Livre-Les-Blondel-103038645315745.
« Les Blondel » de Philippe Bouteiller fait l’objet d’une série de vidéos sur Youtube :
Épisode 1- Le Pays
Épisode 2 - Mordal
https://youtu.be/vRUgvKUVEk4
Épisode 3 - La ferme des Buissonnets
https://youtu.be/_3cbaOdjtI0
Episode 4 - Dieppe
https://youtu.be/tF6jz4mM-ng
Episode 5 - Ils parlent des Blondel
https://www.youtube.com/watch?v=Mf6Py0z_LQg
Roman
Le Lys Bleu 2023
D’aucuns s’empresseront de définir l’Esquinté comme une suite des Blondel. Pourtant, il n’en est rien. Ni étranger, ni lié au destin de ce colosse dont l’ombre plane, il est à l’image de son héros Jean Lebellois plus discret, à la frontière entre deux mondes. Une espèce d’évaporé qui porte sur lui tout un tas de contradictions. La puissance d’un corps, la mémoire d’une courbe, la chaleur d’un souffle, l’éternelle stupidité des hommes. Leur vulnérabilité. Et toute la mémoire d’une époque disparue.
Belle récompense pour un auteur sans nom. Prenez un court instant pour lire cet avis de lecteur :
Mon cher Philippe,
"En vol pour Detroit, j'ai pu trouver le temps de terminer votre "Esquinté".
Et vous m'avez bien eu ! Incapable de rapprocher l’Eugénie de Jean avec celle d’Octave (et même si le nom de Lebellois me disait bien quelque chose!), je suis resté stupéfait par cette fin
extraordinaire où tous les morceaux du puzzle se reconstituaient. Génial scénario ! Vous m’avez à nouveau promené dans ce pays que j’aime tant (mais où est donc Clarville ? une de vos facéties ?),
avec votre belle écriture et ce patois normand qui a bercé toute mon enfance.
L’expression qui pour moi caractérise le plus votre goût pour les descriptions fleuries et pittoresques, et qui m’a rempli de joie, se trouve en bas de la page 36 : « …la silhouette furtive d’une
renarde, emportant dans sa gueule le fruit de son larcin, une volaille FLASQUE ». Je la vois cette renarde, avec un oeil regardant vers l’arrière pour être bien sûre que personne ne lui piquera sa
proie !
Bravo pour cette belle nouvelle qui m’a enchanté, en attendant la suite de cette saga".
Xavier C.
Et puis voici l'avis d'une lectrice sur "L'esquinté" :
« Grande amatrice d'auteurs du19ème, et particulièrement attachée aux romans qui mettent en évidence " l'éternel humain", vous m'avez ravie par la pertinence de vos descriptions très Balzaciennes des lieux décrits, et des personnages, tout droit sortis des contes et nouvelles de Maupassant. On ne peut pas ne pas penser à « La maison Tellier », dans le chapitre consacré à Lolo. Si on ajoute un zeste de Flaubert dans la dramaturgie de l'histoire (Marinette est une future Emma Bovary),, vous êtes en droite ligne des écrivains normands et vous avez sur vos personnages le regard plein de tendresse et de lucidité qu'ils avaient.
J’ai aussi retrouvé bien sûr, le thème si bien décrit par Pierre Lemaître, de la difficulté à revivre de gueules cassées lors de leur retour des guerres.
Bravo pour cet excellent petit roman. »
Christine F
Dans la presse :
Roman, 2025
Ce 9 novembre 1969, l’abbé Roland est mort dans la petite commune de Bioussac en Charente, où il vivait depuis plus de vingt ans. Tout le monde ici connaissait Jules, l’irascible curé bâtisseur du
village, devenu unijambiste à la suite d’une blessure de guerre en 1918. Tous savaient aussi qu’il était natif de Nantes et qu’il avait adopté un neveu. Mais tous ignoraient son passé, sa véritable
histoire.
Ce livre est librement inspiré de faits réels. Au-delà du parcours connu de Jules Rolland, les situations et les dialogues sont fictionnels.
Avis des lecteurs :
Premier avis de lecteur. Je suis très ému. « le froc et la brique" encore une fois un excellent roman très attachant, bravo à Philippe Bouteiller qui, par le pouvoir des mots arrive à me transmettre des images. Si son premier roman " les Blondel " m'a le plus touché parce que je connais les lieux et une partie des personnages. J'ai retrouvé ici le même plaisir à dévorer les pages pour toujours en savoir plus sur ce nouveau personnage particulier et très attachant. Je conseil vivement ce nouveau roman et surtout Philippe n'arrêtez pas d'écrire. Fidèlement fan. Jacques Lefèvre (Varengeville sur mer - 76)
Deuxième avis : « Bonjour Philippe, je viens de terminer ton dernier chef d'œuvre. Je ne trouve pas encore les mots pour exprimer mes sentiments. J'ai adoré autant que j'ai adoré les Blondel. Il y a de tout dans tes livres, une histoire dans l'Histoire, de l'affection pour tes personnages , de l'humour, des informations très instructives, etc... J'aime beaucoup ton style mais ça je te l'ai déjà dit depuis longtemps. Encore merci pour tous ces bons moments passés en compagnie de tous tes personnages réels ou imaginés. Bien sûr nous aurons très bientôt l'occasion de reparler de Jules. » (Jean Claude Million, Poitiers 86)
Troisième avis : « Voilà un récit soigné et bien inspiré qui rend toute son humanité à un si brave homme ,sorti de la misérable condition qui s'abattait sur lui et ses proches ; Jules mérite cette
reconnaissance qui témoigne de sa foi profonde, de sa résistance à l'adversité ,de son ardant dévouement envers ses proches . Une belle leçon de persévérance …. et un bain champêtre et reposant d’une
littérature fort agréable"
merci pour ce divertissant " voyage", François Delacroix (76)
Quatrième avis : À l'heure où des écrivains en vogue livrent leur narcissisme exacerbé sur les ondes, à l'heure où les égotismes se mêlent aux récits dépressifs pour nous plomber le moral... Comme
tu me fais du bien mon cher Philippe !
Dans la lignée de tes précédents romans « Les Blondel » et « L'esquinté », ton dernier né « Le froc et la brique » renoue avec un naturalisme salvateur.
Qu'est-ce qu'un bon roman, en fait ? Une belle histoire accompagnée d'une belle écriture !
Eh bien, « Le froc et la brique » entre dans cette noble filiation d'un Mirbeau ou Maupassant. Ton héros au parcours cahotique au sein d'un monde rural rugueux et sélectif, nous offre ce grand
respect que tu as des petites gens. Ton humanisme à fleur de peau et ta connaissance encyclopédique des secrets de la nature complètent avec grâce ce voyage en Pays Nantais.
Merci mon cher Philippe pour ce beau texte, ce travail de recherche et cette lueur d'espoir ! Jean François Rottier (76)