J’accueille en thérapie individuelle (français/anglais) toute personne en demande d'aide psychologique. Bien que spécialisée en analyse transgénérationnelle, mon approche intègre aussi écoute psychanalytique et thérapie relationnelle. Diplômée en 2007 de l’Association Internationale de Psychogénéalogie, j'ai rejoint le Syndicat National des Praticiens en Psychothérapie Relationnelle et Psychanalyse (SNPPsy) en 2009. A ce titre, je respecte les « 5 critères » des psychopraticiens en exercice. Je continue à me former et à travailler sous supervision. Avant de devenir thérapeute, j’ai suivi des études en langues, sciences humaines et journalisme et j'ai exercé les métiers de journaliste, enseignante, traductrice et écrivain.
Site web : http://catherinegoulletquer.blogspot.fr/
Agenda 2017 :
Edition du Pérat, 2015
Le 31 août 1997, Lady Diana disparaissait à la suite d’un accident de la route fracassant, sous le pont de l’Alma à Paris. Pour la première fois, l’auteure retrace ici son existence dans une perspective transgénérationnelle. Dix-huit ans après sa mort, elle esquisse aussi l’héritage spirituel légué à sa famille et à son peuple par celle qui se voulait à tout jamais la « reine du cœur des gens ». De son vivant, Diana Spencer a incarné plus que tout un rôle de mère protectrice à l’image de cette autre Diane de l’Antiquité romaine, la déesse des fonctions génératrices, de l’enfantement et de la vie de famille Diane d’Aricie. Comme si celle qui n’avait pas été désirée en tant que fille était pourtant venue au monde pour accomplir ce destin-là…
28/06/2015
Catherine Simon Goulletquer a contribué à l'ouvrage collectif (poèmes & nouvelles), publié en juin 2015, par la Société des Auteurs de Poitou-Charentes, aux Editions du Petit Pavé : "Vagabondages Amoureux".
Roman historique, Geste Editions 2017
À la cour du roi Louis XVI, le marquis de La Fayette se morfond. Son enfance, au château de Chavaniac, en Auvergne, ne l’a pas préparé à cette vie-là. Lors d’une conférence donnée en sa garnison de Metz, il est subjugué par le plaidoyer du duc de Gloucester en faveur des colons d’Amérique qui se battent, outre Atlantique, pour leur liberté. Jamais aucune cause ne lui a semblé plus belle à défendre pour l’humanité ! Avant même la fin de la soirée, il a décidé de la faire sienne. À 19 ans à peine, le jeune orphelin - mais riche héritier- se jette dans l’aventure pour rejoindre l’armée des patriotes. Parvenant à se faire enrôler in extremis, il rencontre, peu après, le commandant de l’armée continentale George Washington. Entre les deux hommes, l’attirance est immédiate. Le général, plein de curiosité pour ce jeune aristocrate du vieux monde, l’invite aussitôt à séjourner chez lui, au quartier général de Valley Forge. Ainsi commence pour Lafayette la guerre d’indépendance américaine à laquelle il a tant rêvé de participer. Sur le théâtre des affrontements, ponctué de complots et de trahisons, l’amitié filiale entre les deux hommes va être le ressort même du triomphe de leur idéal. Ce roman historique retrace l’évolution de leur lien affectif sur la base de la correspondance qu’ils nous ont laissée. Elle nous offre une fenêtre incomparable sur l’esprit chevaleresque et la philosophie humaniste de ces deux gentilshommes du xviiie siècle, que l’Hermione allait réunir en Amérique. Lafayette et Washington À la conquête de la liberté est avant tout un hymne à la fraternité. Un lien spirituel, dont la valeur, éternelle, est toujours d’actualité.
Editions Dacres 2018
Le caporal-prêtre Chasseraud s’éteint sur l’île grecque de Mytilène (Lesbos) le 11 novembre 1918 à 19 heures. À la même heure, en France, sa famille célèbre l’armistice en le croyant toujours
vivant. L’annonce de sa disparition provoque un choc chez sa jeune cousine qui mettra dix ans avant de pouvoir concevoir un enfant. Elle aimerait combler l’absence du défunt par cette vie qu’elle
porte en elle mais c’est une fille, Maud, qui naît. Difficile alors pour elle de remplacer l’homme d’église.
Maud n’aura pas d’enfant et sa trajectoire de vie sera bouleversée. À la fin de son existence, toutefois, réapparaît son unique filleule – la fille qu’elle n’a jamais eue – avec laquelle elle va
tisser un lien maternel et à qui elle transmet sa mémoire personnelle et familiale.
Quelques années après la disparition de la vieille dame, son héritière affective se lance, dans un dernier élan pour clore son deuil, sur les traces du caporal à Mytilène. Commence alors une
véritable odyssée en Grèce et en France pour retrouver le lieu où il repose définitivement. Une quête ponctuée par de troublantes synchronicités et soutenue par une kyrielle d’âmes bienveillantes et
généreuses.
L’auteure explore ici les thèmes de la violence de l’Histoire, des loyautés inconscientes et des transmissions familiales, de la foi et de la spiritualité, laïque ou religieuse. L’enquête qu’elle
mène rend hommage aux 8 309 soldats morts pour la France sur le front d’Orient pendant la Grande Guerre ainsi qu’à toutes les autres victimes de ces conflits.